Vous avez peut-être déjà eu l’occasion de la visiter, cette mégalopole du Sud-Est de la Chine, si impressionnante avec ses contrastes entre buildings d’affaires immenses et marchés populaires, mais également entre les cultures et religions qui s’y côtoient. Parmi ces dernières, on trouve environ 8% de catholiques.

Père Nicolas de Francqueville, prêtre des Missions Etrangères de Paris vivant à Hong Kong depuis plus de 6 ans, a appris le chinois cantonnais et, malgré les restrictions conséquentes dues à la situation sanitaire, a pu, en tant qu’aumônier, poursuivre les sacrements des malades, les confessions et même les baptêmes dans l’hôpital auquel il était accrédité, avec l’accord des médecins.
Il nous dit : « En chinois, le mot « crise » se traduit en deux caractères : 危 indique la dangerosité ; 機 indique l’opportunité.

Que cette nouvelle crise désormais mondiale devienne aussi une opportunité de renforcer les liens de solidarité, de grandir en humilité, de ralentir le rythme effréné habituel pour se recentrer sur l’essentiel : l’amour de Dieu inconditionnel pour chaque personne. »

Un nouveau contraste de plus qui pousse à réfléchir.

Alors, la prochaine fois que vos pas vous mèneront à Hong Kong, ayez un regard nouveau, prenez le temps de découvrir les temples, les églises, tout ce qui fait la multiculturalité si riche de cette ville.
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